lundi 18 août 2008

Attente glacée


De l'aéroport à la gare

Je vois l’aéroport, j’ai l’impression d’être à l’entrée d’une cave délaissée. Mais, en entrant pour aller chercher mes bagages, je me trouve dans un univers très moderne et je me rappelle que beaucoup de « grands » d’aujourd’hui on commencé dans un garage, comme Google, Apple ou les Rolling Stones. J’attends mes bagages et comme ils n’arrivent pas, je m’inquiète un peu. Finalement, ils arrivent. Papa voit un chauffeur de taxi et lui demande le prix pour aller à gare et il lui écrit quelques choses sur un papier mais papa trouve que c’est trop cher alors il demande à Sacha combien ça coûte et il lui dit d’attendre. Quelques minutes plus tard, il revient et nous dit que c’est lui qui nous accompagne avec sa femme. On parle et il nous dit de faire attention car il y a beaucoup de criminalité et de vol en Russie, on le remercie. Finalement on arrive à la gare et on remercie Sacha et sa femme. On rentre dans la gare et papa me dit de l’attendre. Il va chercher un endroit où se reposer. Pendant ce temps je m’assois et j’observe cette gare remplie de monde. Elle me fait penser à la gare du Nord remplie de personnes de couleurs. Ici, dans cette gare, elles doivent venir de toutes les petites Républiques ou des anciennes République de l’URSS où elles rentrent. Finalement, papa revient et me dit que c’est au 8ème étage sans ascenseur. Il faut monter tous les bagages ou sinon il y a une sorte de VIP Room avec des fauteuils alors je lui dis que je préfère la deuxième solution. On s’installe dans un endroit où les gens sont épuisés et où la dame de l’accueil est ignoble et froide. Papa met en charge les appareils électroniques. Je regarde une série de télé russe sur la guerre et papa appelle Paris. Moi, j’appelle plusieurs personnes et je suis content. On attend des heures dans cet endroit froid, avant d’entendre « Astrakhan » et de se dire : « c’est à nous. ».

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