dimanche 20 juillet 2008

Des rencontres marquantes




La petite vendeuse de fleurs

On retourne ensuite à l’hôtel où l’on retrouve la fille qui est venue nous chercher et sa soeur qui est étudiante à HEC et je me rappelle que c’est une des Grandes Ecoles de « Question pour un champion », un clin d’œil à mes grands parents que j’aime très fort et qui me manquent beaucoup. On monte pour se préparer, mais quand on descend, elles nous disent qu’elles doivent partir. Pour aller manger, on se dirige vers une ruelle où à l’entrée il y a marqué « Islamic Street of Xian ». On entre dans une petite rue remplie de monde et très bruyante avec beaucoup de restaurants et de vendeurs. On marche et on observe. A un moment une petite voix nous demande en anglais si on veut des fleurs. Papa qui avait les yeux sur son appareil photo lève les yeux pour dire non merci mais ne voit personne. De nouveau cette petite voix nous pose la même question. Papa se baisse et se retrouve devant une petite fille de huit ans, vendeuse de fleurs. Cette petite fille, très mignonne voulait nous vendre des fleurs, alors papa demande le prix et demande deux au lieu de trois fleurs. Finalement, il en prend trois et invite cette mignonne petite fille et sa maman à dîner, mais sa mère refuse car elle ne veut pas avoir de dettes ensuite envers le patron du restaurant. Alors, on décide de manger que tous les trois, papa, Liu Jia et moi. Vers la fin de notre repas, je vois la petite fille assise sur une petite table à coté en train de manger des nouilles et comme je la trouve si mignonne je rassemble toutes mes forces pour dire « bon appétit » en chinois. Mais elle ne me comprend pas et Liu Jia lui dit ce que je voulais dire. En parlant avec elle, on apprend qu’elle vient d’un village très pauvre de la région de Lanzhou. Je retourne à ma table et là, une dame du restaurant nous emmène trois jus de fruit chinois et je décide de donner le mien à la petite fille et je suis content car elle est contente. Ensuite, on repart vers l’hôtel, on marche vers un marchand de farce et attrape. Plus loin, on passe devant un autre hôtel, et on voit que les prix sont deux fois moins chers. Alors, on va peut-être changer pour économiser et rester dans le budget. On tombe ensuite sur une fête foraine de rue, c’est amusant. On passe devant un Macdonald’s où j’essaye de trouver un café au lait glacé pour rester réveillé pour écrire mon texte, mais je n’en trouve pas. Alors, je décide de boire un thé, d’écrire et de dormir.

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