vendredi 18 juillet 2008

Course contre la montre

Toujours plus de technologie...et quelques problèmes

Aujourd’hui on avait la montre qui nous courait après, c’est à dire, que l’on avait beaucoup de choses à faire en peu de temps. Nous nous sommes réveillés un peu plus tard que ce qu’il fallait. Après m’être couché à 2h30 je sentais le besoin de dormir. L’appel de Liu Jia m’a cassé dans mon élan de bonheur et de repos. Une fois debout, pour me sortir de ce réveil inattendu, je suis allé prendre une douche. Ca fait du bien. C’est un moment de repos en plus. Je dois ensuite préparer mon sac et je roule mes vêtements comme me l’avait appris maman, pour les ranger dans le sac à dos qui doit être prêt pour le premier départ en train entre Pékin et Xian. On réfléchit ensemble, avec papa, à la répartition des affaires entre les sacs. Quelques minutes plus tard je me charge comme un mulet pour emmener le plus de sac dans un minimum de temps car le temps nous presse toujours. On descend à l’accueil pour déposer nos affaires que l’on viendra chercher le soir pour les emmener à la gare pour le départ de notre train à 19h03. On retrouve Liu Jia devant l’hôtel pour aller dans un grand magasin Apple. On cherche un taxi pékinois, on en trouve un et on part chez le MACrinaire. On arrive devant un ensemble de bâtiments d’affaires et de commerces et, entre tous ces building, on trouve le magasin que l’on cherche. Papa explique le problème de notre portable Mac et le technicien lui dit que c’est un problème de logiciels et que c’est l’autre magasin Apple spécialisé dans les logiciels qui pourra nous aider. Après que papa m’ait offert ma pochette de protection pour Ipod touch je lui saute dans les bras et le remercie. On se dépêche et on court au magasin de logiciel. Là je fais un peu Internet et au bout de quelques temps ils disent qu’en 45 minutes ils peuvent réparer le problème. On part pour l’agence de photos où ils ont reçu mon premier ordinateur portable, un IBM. En entrant je vois quatre chinois jouer au Ping-pong et je leur demande si je peux jouer et l’un très gentiment me tend sa raquette et je joue. Je commence à comprendre le jeu de double quand, pour attraper une balle je saute, tombe sur la table et la casse ; j’étais gêné. Ensuite j’ai rejoint papa qui m’attendait avec un technicien et un Hui qui s’appelle Abdel mais que l’on surnomme, Doudou. Ces deux personnes m’on appris le fonctionnement de mon nouvel ordinateur.

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