Réveil dans le train promenade matinale alors que tout le monde dort. Je rentre dans le compartiment et j’attends sans rien faire. Papa me dit qu’il est près de midi et qu’il est temps d’aller déjeuner. J’accepte et me lève pour aller au restaurant. Quand on se dirige vers le restaurant, je vois que le chemin à parcourir est beaucoup plus long. Quand on arrive devant le restaurant, tout à changé, le décor est devenu très froid tout comme les serveuses sont devenues froides, distantes, peu souriantes. On prend le menu et on commande quelque chose de basique. Au moment de payer, le serveur tente de nous faire payer des pommes de terre en plus, mais papa ne se laisse pas faire. Bon, premier contact avec la Russie…, c’est un peu moyen ! Quand je reviens, mais amis sont réveillés, je vais les voir et on recommence à parler. J’apprends que Carlos étudie les Sciences Politiques à Londres ; c’est quelqu’un avec qui je peux avoir des discussions poussées. Louis, lui, veut devenir anthropologue et il va étudier l’anthropologie à Boston. Singoala, elle veut travailler dans les relations internationales. Avec Carlos, je discute de foot mais surtout de communisme, de castrisme et des FARC. On s’échange des idées et on voit qu’on partage à peu près les mêmes. J’aime ce genre de discussions mais parfois difficile d’en avoir avec mes copains, ceux de mon age. On passe au bord du Lac Baïkal, c’est juste magnifique. Mes amis de train prennent des photos. Au bout d’un moment, papa m’appelle. On doit se préparer car le soi-disant contrôleur lui a dit qu’on descend dans 30 minutes. Je finis ma discussion et dit au revoir à mes amis et leur dit que s’ils viennent à Paris, ils ont un endroit où dormir. Notre maison à Paris est toujours ouverte. En fait, quand je rentre dans mon compartiment, je me mets à parler avec les deux Français et je vois qu’on est pas prêts d’arriver. Je suis furieux car j’ai du arrêter ma discussion pour rien. Finalement, on arrive à Irkoutsk, je dis une dernière fois au revoir à mes amis et je descends.
vendredi 15 août 2008
Du côté de la Russie
Premiers contacts et compagnons de route
Réveil dans le train promenade matinale alors que tout le monde dort. Je rentre dans le compartiment et j’attends sans rien faire. Papa me dit qu’il est près de midi et qu’il est temps d’aller déjeuner. J’accepte et me lève pour aller au restaurant. Quand on se dirige vers le restaurant, je vois que le chemin à parcourir est beaucoup plus long. Quand on arrive devant le restaurant, tout à changé, le décor est devenu très froid tout comme les serveuses sont devenues froides, distantes, peu souriantes. On prend le menu et on commande quelque chose de basique. Au moment de payer, le serveur tente de nous faire payer des pommes de terre en plus, mais papa ne se laisse pas faire. Bon, premier contact avec la Russie…, c’est un peu moyen ! Quand je reviens, mais amis sont réveillés, je vais les voir et on recommence à parler. J’apprends que Carlos étudie les Sciences Politiques à Londres ; c’est quelqu’un avec qui je peux avoir des discussions poussées. Louis, lui, veut devenir anthropologue et il va étudier l’anthropologie à Boston. Singoala, elle veut travailler dans les relations internationales. Avec Carlos, je discute de foot mais surtout de communisme, de castrisme et des FARC. On s’échange des idées et on voit qu’on partage à peu près les mêmes. J’aime ce genre de discussions mais parfois difficile d’en avoir avec mes copains, ceux de mon age. On passe au bord du Lac Baïkal, c’est juste magnifique. Mes amis de train prennent des photos. Au bout d’un moment, papa m’appelle. On doit se préparer car le soi-disant contrôleur lui a dit qu’on descend dans 30 minutes. Je finis ma discussion et dit au revoir à mes amis et leur dit que s’ils viennent à Paris, ils ont un endroit où dormir. Notre maison à Paris est toujours ouverte. En fait, quand je rentre dans mon compartiment, je me mets à parler avec les deux Français et je vois qu’on est pas prêts d’arriver. Je suis furieux car j’ai du arrêter ma discussion pour rien. Finalement, on arrive à Irkoutsk, je dis une dernière fois au revoir à mes amis et je descends.
Réveil dans le train promenade matinale alors que tout le monde dort. Je rentre dans le compartiment et j’attends sans rien faire. Papa me dit qu’il est près de midi et qu’il est temps d’aller déjeuner. J’accepte et me lève pour aller au restaurant. Quand on se dirige vers le restaurant, je vois que le chemin à parcourir est beaucoup plus long. Quand on arrive devant le restaurant, tout à changé, le décor est devenu très froid tout comme les serveuses sont devenues froides, distantes, peu souriantes. On prend le menu et on commande quelque chose de basique. Au moment de payer, le serveur tente de nous faire payer des pommes de terre en plus, mais papa ne se laisse pas faire. Bon, premier contact avec la Russie…, c’est un peu moyen ! Quand je reviens, mais amis sont réveillés, je vais les voir et on recommence à parler. J’apprends que Carlos étudie les Sciences Politiques à Londres ; c’est quelqu’un avec qui je peux avoir des discussions poussées. Louis, lui, veut devenir anthropologue et il va étudier l’anthropologie à Boston. Singoala, elle veut travailler dans les relations internationales. Avec Carlos, je discute de foot mais surtout de communisme, de castrisme et des FARC. On s’échange des idées et on voit qu’on partage à peu près les mêmes. J’aime ce genre de discussions mais parfois difficile d’en avoir avec mes copains, ceux de mon age. On passe au bord du Lac Baïkal, c’est juste magnifique. Mes amis de train prennent des photos. Au bout d’un moment, papa m’appelle. On doit se préparer car le soi-disant contrôleur lui a dit qu’on descend dans 30 minutes. Je finis ma discussion et dit au revoir à mes amis et leur dit que s’ils viennent à Paris, ils ont un endroit où dormir. Notre maison à Paris est toujours ouverte. En fait, quand je rentre dans mon compartiment, je me mets à parler avec les deux Français et je vois qu’on est pas prêts d’arriver. Je suis furieux car j’ai du arrêter ma discussion pour rien. Finalement, on arrive à Irkoutsk, je dis une dernière fois au revoir à mes amis et je descends.
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