La souffrance d'un peuple pour un palais
On se prépare pour descendre et quand on arrive à Bucarest, on court pour attraper notre autre train mais quand on arrive sur le quai, on le voit partir. On se rend au point de vente international et on retrouve notre compagnon de voyage, l’Américain qui attend comme nous, pour acheter un billet pour le train suivant qui part à 23h45. Je veux savoir ce qui se passe et je m’approche de papa pour lui demander. Et là il me répond : « Retourne garder les bagages, ici ils volent en 3 secondes. Alors, je retourne puis je reviens mais papa me redit la même chose alors je retourne pour garder les bagages et j’attends que papa ait fini d’acheter les billets. Je dis les billets, car Roshanak nous avait appelé un peu avant, pour nous dire qu’elle avait trouvé un trajet rapide qui faisait Bucarest-Budapest-Vienne-Starsbourg-Paris qui nous faisait arriver le 31 au matin vers 10h30. On arrive à acheter un billet, mais pas le deuxième car la dame nous dit que la vente est pour le moment fermée et qu’il faut revenir plus tard. Comme nos amis Iraniens d’Istanbul nous ont conseillé d’aller voir le Palais de Ciaucescu, on décide de mettre nos bagages à la consigne de la gare et de prendre un taxi pour se rendre au palais. Avant de prendre le taxi je descends dans le métro de Bucarest pour voir comment il est, car les métros et les tunnels sont l’une de mes passions depuis tout petit, alors je prends un petit plan et je remonte pour prendre le taxi. Quand on arrive au fameux Palais, on se retrouve face à un monstre de bâtiment magnifiquement taillé et éclairé d’une très belle lumière et on prend des photos. Je dis même à maman qu’il fait au moins le double de Versailles. Il paraît que c’est le pays tout entier et le peuple qui a souffert pour ce Palais. Je remarque que les panneaux des rues sont exactement comme à Paris. Quand on fini de voir cette merveille, on décide de retourner à la gare. On a faim , alors après de la gare, on achète des fruits, du yaourt et un Kebab au poulet ; que c’est bon ! On retourne à la gare, papa s’installe au Macdo pour boire un expresso. Ca, c’est un scoop, car papa au Mac Do, c’est juste impossible ! On va voir la dame qui vend les billets et là elle nous dit qu’elle a les billets Vienne-Strasbourg et on la remercie.
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